Paris 1er partie

Enfin nous sommes partis de cet endroit de malheur. Mes parents ont reçu un nouveau emploi en France. Ils vont travailler pour je ne sais lequel musée, probablement le Louvre, mais je m'en fiche un peu, l'important c'est de quitter cette île de fous et espérer ne plus jamais revoir cette bande d'illuminés. Plus jamais je ne vais croire que quelque chose est impossible, parce qu'avec eux, rien ne l'est. Par contre, je crois que je vais avoir à subir des thérapies psychiatrique pour le restant de ma vie.
Ma mère surtout pense que ça me ferait du bien de parler de mon monde imaginaire avec un autre adulte. D'accord, oui, je pense moi aussi que je suis rendue folle et j'espère que c'est le cas et que j'ai imaginé tout ça, mais la morsure de ce garçon complètement dingue me dit parfois le contraire. C'est qu'il m'a mordu fort, le salaud, il a beau être mignon comme un coeur, c'est le diable en personne. Moins je le vois et mieux je me porte.

Ça fait quelque temps déjà que je suis inscrite à cette école de ringards et je sens déjà que la vie reprend son rythme normal. Il n'y a plus de monstre squelettique qui cherchent à tout déchiqueter, encore moins d'explosion gigantesque à cause d'un démon ou encore parce que le groupe que j'avais rencontré avait décidé de détruire l'immeuble de mon ancien psychiâtre. Dieu que la vie est belle lorsqu'ils ne sont pas là, quoi que Monsieur Apple me manque un peu, il était gentil et aussi le type efféminé qui m'avait aidé à retrouvé .... non je préfère ne plus y penser. Si je n'y pense pas, il n'extiste pas.
Tien un nouveau élève, je ne pensais pas qu'après moi, il y en aurait d'autre au beau milieu de l'année. Ah non ! Non, non, non, s'y je ne le regarde pas, c'est qu'il n'existe pas. Comment ça qu'il vienne s'asseoir à côté de moi, il y sûrement d'autre place dans cette foutue classe ??!! Pourquoi est-ce qu'il a fallu qu'il débarque ici, il me suit ou quoi ?? Et en plus, il attire l'attention de tout le monde, il ne pourrait pas juste, je ne sais pas moi, cesser d'exister.

Aujourd'hui, on a une visite au musée du Louvre, on va voir la nouvelle collection égyptienne qui vient tout juste d'arriver et sur laquelle mes parents travaillent. Au début, tout ce passe bien, c'est une visite normale jusqu'à ce qu'une voix bizarre m'appelle. Non mais, il ne peut pas me laisser tranquille !! Je lui donne une claque derrière la tête et je lui demande d'arrêter, mais il a juste l'air perdu. Puis, la voix recommence, je répète qu'il arrête de jouer dans ma tête, mais il n'a pas l'air de comprendre ce que je lui demande.
C'est peut-être pas lui finalement, mais ça fait du bien de lui frapper derrière la tête, donc je le fait encore une fois juste pour mon plaisir personnel. Finalement, la voix me demande de venir la rejoindre et elle essaye même de m'attirer en disant qu'elle a des bonbons. Hé ! Je ne suis pas conne à ce point là, mais vu qu'elle ne cesse pas, je préfère encore aller ramasser ces chers friandises avec Ayama. Au moins, s'il y a un monstre dans le coin, je peux dire que c'est de sa faute et non pas de la mienne.

On se retrouve dans un local où il y a des boîtes déposées à même le sol un peu partout. Dans un coin, l'une d'entre elles me semble bizarre, Ayama se rapproche et enlève le couvercle avec un pied de biche. Il n'y a rien, comment ça il n'y a rien ?? Je m'approche à mon tour et dans la boîte, il y a un vieux sarcophage recouvert de dessins de serpents. Je ne comprends pas, c'est sûr qu'il n'y a rien, le sarcophage est fermé, la voix vient de l'intérieur. Agacé, il me prend la tête et me penche vers la pierre et m'affirme qu'il n'y a vraiment rien d'extraordinaire.
Soudain, un serpent de pierre prend vie et me mords dans l'épaule. Je me débats et je lui demande de me lâcher. Je lui montre la blessure en lui disant que finalement il y a peut-être quelque chose de pas correct là dedans et je me dépêche vers la porte. Je refuse de rester plus longtemps dans cette pièce et en plus en compagnie de cet abruti.

Un bruit retint mon attention, le couvercle du cercueil de pierre se soulève et un sifflement rebondit contre les murs. Je tente d'ouvrir la porte, mais elle reste bloquée. Je sens de longs corps froids se glisser le long de mes jambes. Le sifflement est partout et les reptiles recouvrent le sol au complet. Puis, le cauchemar s'éteint, il n'y a plus de serpents, mon père ouvre la porte et nous demande ce que nous faisons là. Ayama semble le convaincre qu'il cherchais les toilettes et que je l'accompagnais, puis il sort.
Je me défoule une dernière fois et je lui donne une bonne claque derrière la tête, Monsieur feint l'ignorance et me dit que je devrais le laisser tranquille, qu'il ne me connaît pas. Ha oui ! Eh ! Bien, moi non plus j'aimerais bien ne pas te connaître, si toi et tes étranges amis n'étaient pas dans ma vie, celle-ci se porterait bien mieux. Mais pour l'instant, je veux jsute m'en aller chez moi et dormir. Je suis fatiguée que tout ça me tombe sur la tête, je veux juste être tranquille.Un rêve, je rêve ... à quoi, la ville est ensevelie sous le sable, je ne comprends pas ce qui se passe. J'ai chaud, j'ai mal, mon épaule est en feu ... et c'est le noir total.

2e Rêve
Je me réveille devant les portes d'un centre d'achat, je n'était pas dans mon lit la dernière fois ?? En tout cas, mon épaule ne me fait plus mal et je n'ai plus de fièvre. Je rentre et je vois une dame aux cheveux bleus, elle se met à hurler aussitôt qu'elle me voit, mais qu'est ce que j'ai qui peut bien lui faire aussi peur ! Soudain, un homme est apparu à nos côtés et il a demandé pourquoi est-ce que la dame criait.
Elle n'a pas vraiment expliquer le pourquoi, mais elle s'est nommé et l'étrange homme aussi. Au moins, je connaît leurs noms. Brusquement les portes qui menaient vers l'extieur se sont fermés et on s'est tous retrouvé enfermés à l'intérieur de l'entrée du centre. On a chercher un peu et on est rentré dans une sorte de bureau où il y avait un cadavre étandu sur le meuble. Il y avait un fusil par terre, Carl s'en est approché et l'a pris, mais il était inutilisable. Il fallait s'y attendre, mais autre chose est arrivé et ça ce n'était pas prévisible. Le mort s'est relevé et a essayé de mordre Monsieur Carl, ce dernier l'a repoussé sur sa chaise et il a cessé de bouger. Mais qu'est-ce qui se passe ici ?

J'ai fouillé dans les tiroirs et j'ai trouvé un trousseau de clé. Au moment où j'allais sortir de la pièce, un carosse m'a foncé dessus. J'ai eu le temps de me tasser sur le côté, mais c'est Madame Aaris qui a pris le coup. À l'intérieur, il y avait une tête de mort avec le mot "HELL" écrit dessus. Je me suis dépêchée de sortir et d'aller débarrer les portes de métal qui bloquait notre entrée dans ce super magasin où il y avait des soldes monstres apparamment. Une autre chose est alors tombée sur dans les paniers près de l'entrée, mais cette fois-ci, Madame Aaris savait qui c'était. Un autre homme est sorti des carosses et s'est approché de nous, il a dit s'appeler Mach et qu'il était venu chercher Madame Aaris.
Les deux semblaient bien se connaître, mais ils niaient tous les deux avoir une quelconque relation, pourtant ils avaient l'air bien proche à mon goût, mais bon, peut-être qu'ils s'aiment en secret. En bout de compte, il ne savait pas plus que nous ce que nous faisions ici. Alors, on a fini par avancer dans le magasin d'électronique qui était devant nous. En se promenant, Madame Aaris n'arrêtait pas de poser toutes sortes de questions quand aux objets qui nous entouraient, elle n'a jamais ouvert une télé ou regarder un film et elle sait encore moins se servir d'un lecteur de dvd, elle sort d'où, cette femme aux cheveux bleus. Et c'est là, que compble de la stupidité, Carl a ouvert une télé pour lui montrer comment ça fonctionnait, il avait besoin d'ouvrir la plus grosse du coin, bien sûr.

Au début, le téléviseur semblait fonctionner correctement jusqu'à ce qu'il essaie d'aspirer tout ce qu'il l'entourait comme une sorte de trou noir. Au bout d'un certain moment, on reculait tous plus qu'on pouvait avancer. On s'est même accroché au étagères, mais celles-ci n'étaient pas bien visée au sol, donc on a commencé à s'envoler vers l'appareil. Puis, on a essayé de se diriger de l'autre côté de l'étagères, je me suis écorché les bras, mais au moins je suis vivante, merci beaucoup Madame Aaris et Mach. On a continuer à avancer, mais il faisait trop noir pour voir quoi que soit. Soudain un objet est passé au dessus de nos têtes, puis un autre et encore, qu'est-ce que c'est que ça ?? Monsieur Carl s'est coupé la joue à cause de ces bidules qu'on nous lancait, donc on s'est tous mis sur le sol et on s'est mis à ramper.
Madame Aaris était devant et tout à coup, elle s'est arrêtée. La lumière est revenue et on a tous vu un homme bossu à l'air niais nettoyer le sol avec une moppe. Tout autour de nous, il y avait des cd de musique, il nous balancais ça, mais à quelle vitesse il nous les lancait ?? Aussitôt qu'il a vu Madame Aaris, il est devenu fébrile, il l'a pris par le cou et a commencé à l'étudier, il est même aller jusqu'à la lécher sur la joue, puis il s'est exclamé "My Darling". Ok, ils se connaissent et il va peut-être nous aider à sortir de ce cauchemar, mais à l'expression sur le beau visage de Aaris, elle était dégoutée et tentait plutôt de s'enfuir.

Ce fut la panique, Madame Aaris tentait par tous les moyens possibles d'échapper au monstre humain, pendant que Monsieur Mach, Monsieur Carl et moi-même on le poursuivait pour venir en aide à Aaris. Puis, je ne sais trop comment il a fait son compte, mais Monsieur Carl s'est entortillé dans les rubans de cassettes vidéo et un magnétoscope à essayé de le dévorer. J'ai balancé une chaine stéréo sur le montre de métal et je suis partie chercher un disque pour couper les liens. Quand je suis revenue, Monsieur Mach se tenait à côté de lui, la moppe dans les mains et il y avait deux autres magnétoscopes brisés par terre, je me suis dépêchée de couper les rubans avant qu'il y en ait d'autre qui ait l'idée de dévorer Monsieur Carl.

Malheureusement, pendant tout ce temps, on avait perdu la trace de Madame Aaris, donc on s'est mis à sa recherche. On a finit par la trouver dans un boulangerie, armée d'une énorme spatule de bois et d'un rouleau à pâte. Elle m'a donné le rouleau et presque aussitôt une ombre s'est tendue vers nous et un cri a confirmé que le monstre était de retour. "My Darling !" Je vais t'en faire une darling, sale monster, laisse Madame Aaris tranquille. Il est parti à sa poursuite et ils ont tourné longtemps autour de la table, j'ai essayé de monter sur celle-ci pour aller aider Aaris, mais le montre a voulu soulever le meuble en même temps et je me suis retrouvée sur le plancher des vaches. Il tenait en équilibre l'énorme table, alors Madame Aaris s'est mise à l'attaquer avec sa spatule de bois, elle lui donnait des coups dans l'estomac et sur la tête, puis dans entre les deux jambes. Il avait l'air heureux lorsqu'elle a fait ça, ce qui prouve à quel point cet homme était dérangé ou qu'il vait besoin d'une femme et vite.

Nous sommes retourné sur nos pas et on a entendu des pas dans le magasin. Une étrange fille nous a sauté dessus, mais encore là, Madame Aaris l'a reconnue, elle vraiment populaire, c'est pour ça que tous le monde veut la retrouver.

(je n'ai pas écrit la suite et ma mémoire ne me permet pas de le déterminer complètement. voici ce dont je me souviens : Aaris s'est déchiqueté les jambes avec des cordes de lianes couvertes d'épines, Carl est mort dans un four lors du jeu d'Anna, Aeryn a été tuée par l'horrible femme de Muerte dans la salle au trésor, Siann est morte en suivant le chien qui manipulait le robot servant de femme de Muerte, dans un conduit d'aération menant vers nulle part et Naesbe était en train de mourir au bout de son sang. )

Rêve 3

J'ai mal, en fait, j'avais mal jusqu'à ce que tout devienne noir et la douleur disparaisse, mais à ce moment là, il n'y avait plus rien. Ni sensation, ni émotions, je ne ressentais plus rien, je n'existais plus. Enfin je croyais, jusqu'à ce que j'apparaisse dans une sorte de grotte où il y avait des bancs et une statue. Je me demandais où j'étais jusqu'à ce qu'une petite fille de mon âge entre et aille s'agenouiller devant la statue.
Elle y ait resté un moment, puis lorsqu'elle s'est relevée, elle m'a vu. Je ne savais pas trop quoi dire, donc j'ai juste demandé où j'étais. Elle m'a répondu quelque chose, mais ça ne me disais rien. Pour être sincère, j'étais sûre que j'étais en enfer, quoi que l'endroit n'avait pas l'air si méchant que ça.

Je lui ai demandé par la suite de m'emmener voir ses parents, mais elle a préféré m'emmener voir un "noble". Je n'y voyais pas vraiment d'objection, tant qu'il puisse m'aider dans ma situation. Elle est ensuite parties me chercher des vêtements plus confortable parce que la chemise d'hôpital n'est pas vraiment fermée complètement ... comment ça j'ai une chemise d'hôpital ??? Je ne comprends plus rien, la dernière fois, j'étais chez moi dans mon lit et j'avais mal, c'est tout. Probablement que mes parents m'ont emmener là-bas, mais ... pourquoi est-ce que je suis ici maintenant ??
Je me posais toutes sortes de question lorsque la fille est revenue et elle m'a demandé ce que je faisais ici, bien sûr je lui ai répondu que c'était la faute d'Ayama et elle m'a dit le connaître. Il était supposément gentil et elle avait joué avec lui à quelques reprises. Bien sûr, il était parti et on ne pouvait pas le retrouver, si jamais je retombe face à face avec lui, il va m'entendre.

Pourquoi est-ce qu'il faut toujours qu'il m'arrive des trucs bizarres et qu'en général c'est de sa faute. Je le hais, je le déteste et je voudrais bien qu'il disparaisse de ma vie. J'ai fini par débarquer dans un château où j'ai rencontré un monsieur qui s'est révélé être madame Aaris. Il disait qu'il s'appelait Cédric et qu'habituellement, il était un homme.
Je savais que c'était un travesti, ce genre de personne qui est d'un sexe et qui s'habille de l'autre. Il m'a affirmé que ce n'était pas son cas et qu'il avait été victime d'un sortilège. Sauf que à moins, que je ne rencontre une méchante sorcière comme dans les contes pour enfant, il est très probable que ce soit vrai.

Il n'y a pas de magie ici tout de même, quoi que maintenant, je crois que si je vois un dragon ou un magicien et des chevaliers ça ne va pas vraiment m'inquiétée. Après les crânes de squelettes qui se promène touts seuls, je ne vois pas ce qui serait pire et en plus le stupide psy que mes parents m'oblige de voir ne me crois même pas.
Enfin, j'ai tout de même réussi à faire croire à la fille blonde que j'avais été envoyée par la statue, je crois, pour qu'elle m'aide et ainsi être pardonnée de ses fautes. Je dois admettre que je comprends pas vraiment ce qu'elle a pu faire de si grave surtout si tous le monde autour d'elle lui dise que ce n'était pas de sa faute. Peut-être qu'elle était ensorcelée comme Madame Aaris ... Monsieur Cédric ???

Elle m'a montré aussi des bébés, apparament ils sont de Monsieur Cédric et on n'avait pas vraiment le droit d'aller les voir, mais c'était amusant de trompé la gardienne d'enfant. J'ai aussi essayé d'expliquer à la fille et à Raven, une femme qui l'accompagnais, ce que c'était une télévision. Ensuite, j'ai passé la journée à faire la chasse aux fantômes. S'il y a des mages, pourquoi est-ce qu'il n'y aurait pas de fantômes dans ce château ???
C'est bizarre, j'aimerais bien rentrer chez moi, enfin si c'est possible, mais j'aimerais bien aussi rester et jouer avec la fille blonde. Elle est gentille et je crois que je pourrais enfin avoir une amie, ce que je ne peux pas avoir dans mon monde à cause des déplacements constants que je fais avec mes parents. Ce n'est pas que je ne m'ennuie pas d'eux, j'aimerais bien les retrouver, mais j'aimerais bien aussi rester un peu plus longtemps ici.

C'est amusant comme endroit et puis j'ai Monsieur Cédric. Je ne savais pas qu'il ... elle existait pour de vrai. Je croyais qu'elle n'était qu'un rêve ... c'est bizarre. Je ne sais pas trop combien de temps encore on a tenté de trouver le fantôme qui hantait les passages du château, mais bon. Au fait, je me retrouve dans un château médiéval ou du moins ça y ressemble, je vais bien, je m'amuse avec des filles de mon âge, enfin je crois qu'elles le sont, et rien de fâcheux ne m'est arrivé encore.
Génial, lorsqu'Ayama n'est pas dans les parages, c'est vrai que la vie est bien meilleure. Je dois admettre que je me demande encore comment ce fait-il que j'ai rencontré Monsieur Cédric dans le château, mais ça risque d'être une question qui sera sans réponse. J'ai visité bien des endroits et souvent ça se terminais en cauchemards, mais présentement, ça va. Je m'amuse et j'aime bien cet endroit.

La fille blonde est gentille avec moi et les deux autres, bien qu'elles ont l'air bizarre, sont aussi correctes. Je suis sûre d'avoir vu celle qui a un appareil dentaire en même temps que Madame Aaris, ... sérieusement, je ne sais plus vraiment de quel sexe ce personnage est !!! La magie est vraiment puissante dans ce monde pour transformer les gens en homme ou en femme selon leurs désir et aussi pour ... transformer un tapis en sable mouvant.
Heureusement qu'il n'a pas eu l'air faché lorsqu'il est tombé dans les pièges que les autres lui avaient tendu. Il l'est a même tous évité assez facilement et il n'avait même pas une égratignures. Il nous a fait les gros yeux comme tous les adultes qui tentent d'avoir l'air méchant, mais qu'il en sont incapable en réalité. Il est gentil, Monsieur Cédric et j'espère vraiment que le sceau de farine qui a été déversé sur sa tête, va être un autre coup qu'il va nous pardonner parce que vraiment je n'ai rien fait dans le nouvel amménagement de sa chambre.

J'ai même pu voir le père de la fille blonde, il a vraiment l'air d'un grand guerrier. Il est très grand, assez beau, il parle bien et il a de la suite dans les idées, ce doit être un très bon père, même s'il se promène avec un chapeau de cow-boy. Je croyais que les guerriers de ce temps-là avaient des casques ou des heaumes, peut-être que lui avait décidé de partir une nouvelle mode. En tout cas, il a vraiment l'air héroique, il a lui aussi essayé une ligne de pièges que les autres avaient essayé d'aligner pour attraper le fantôme et il les a tous réussi.
Il est vraiment génial, il doit être un grand guerrier ... mais je préfère quand même Monsieur Cédric, lui au moins, avait gardé ses vêtements intacts après les pièges. Le guerrier avec les cheveux qui sentaient le roussi, les vêtements déchirés et il avait l'air d'être tous déboussolé devant les pièges que des gamines de 10 ans avaient faits.

Franchement, un peu de dignité ou du moins, qu'il essaye un peu de nous gronder, c'est ce que font tous les parents non ??? Ils grondent les enfants qui font des bêtises, même si souvent les réprimandes nous passent par dessus la tête. Je crois qu'ils appellent ça être responsable, mais bon, je préfère encore m'amuser pendant que je le peux. Pendant qu'Ayama n'est pas là, moi je profite du bon temps que j'ai ... hihihihi...

Paris 2e partie

Je me réveille d'un coup dans le noir. Je ne suis pas sûre de suivre les évènements qui se passent autour de moi, il y a quelques minutes j'étais à un mariage gaché et l'instant d'après je suis ... où suis-je d'abord ??? J'essais de bouger un peu, mais j'en suis incapable, on dirait que je suis dans une boîte en métal froide, très froide, en fait, j'ai très froid aussi. Je donne des coups de pieds sur la cloison qui est au bout.
Je veux sortir de là et en plus il fait vraiment trop froid. Soudain, je me sens tirée vers l'avant, mais la boîte suis, on dirait que je suis dans un tiroir et finalement s'en était bien un. Je vois Ayama qui me regarde par dessus et qui me salut. Je me redresse pour découvrir que je n'ai qu'un mince drap qui recouvre mon corps et que je suis dans une salle où il y a plein de ces tiroirs de métal. Ayama me dit que je suis dans une morgue. Je me relève précipitamment, comment ça dans une morgue ??? Je ne suis pas morte que je sache !

Il m'indique où sont mes vêtements et je me dirige vers ceux-ci très vite au cas où qu'il décide de commencer à me regarder de trop près. Hé ! Il m'a déjà mordu une cuisse alors que j'était en poche de patate sur son épaule, je ne sais pas ce qui se passe toujours dans la tête de ce garçon ou du moins je ne veux pas le savoir. Il me lance mollement que j'ai un beau tatouage sur l'épaule en passant. Un beau tatouage, je n'ai aucun tatouage ??
Je me regarde et il est là, sur mon épaule, il ressemble à un gros serpent, depuis quand est-ce que j'ai un tatouage de cette grosseur en plus, sur l'épaule ?? Qu'importe, je verrai plus tard. Je me change rapidement et je vois dans l'autre salle, un homme figé qui tient un couteau dans sa main et qui se tient à côté d'un lit de métal. Bien sûr, juste pour me rassurer, Ayama me dit que j'étais la prochaine à passer au découpage médical. Merci de ce merveilleux accueil.

Je lui demande ce qu'il fait, ça fait plusieurs minutes que le regarde observer les tiroirs qui doivent être probablement pleins de morts. Il a une envie de les bouffer ou quoi ?? Il me répond qu'il veut vérifier quelque chose et il tire sur l'un des gros casiers. Il regarde un peu à l'intérieur et j'ai tout juste le temps de voir un bras bleu commencer à se lever suivi d'une plainte qui ne présage rien de bon, avant de me précipiter pour l'aider à fermer le tiroir de métal.
"On s'en va." Non pour de vrai ??? Il me tire le bras et il a l'air pressé, je le suis moi aussi maintenant. On sors précipitamment, puis ... mais qu'est-ce qui va arriver au monsieur qui reste figé dans la salle derrière nous ??"Ne t'en fait pas, il a déjà son compte." Tant pis, ce sera propablement une mort de plus sur sa conscience, enfin s'il en a une.

Aussitôt sortis de l'hôpital, Ayama appelle un taxi et il me reconduit chez moi. Enfin la maison, quoi ?? Il veut me suivre à l'intérieur, mais il peut bien aller se promener ailleurs, ici c'est la seule place où ce monstre n'est pas rentré. Il m'explique qu'il n'est pas sûr de ce qui va se passer avec mes parents, il m'assure qu'il leur a modifier leurs mémoires pour leur faire oublier que je suis morte, mais il n'est pas sûr.
Il n'est pas sûr de quoi !! Et c'est quoi cette histoire de modification de mémoire, il n'a rien fait à mes parents j'espère. Je ne veux plus le voir, du moins pas pour les dix prochaines années si ce n'est pas plus. Au moins, il comprend le message et me laisse rentrer toute seule, il n'est peut-être pas irrécupérable finalement côté cerveau. Je lui claque la porte au nez et je me dirige vers le salon pour découvrir mes parents assis sur le divan habillés en noir."Bonjour ma chérie, tu as passé une bonne journée à l'école ??""Heu ... oui."Je ne sais pas trop quoi faire, ils ont l'air un peu bizarre, un peu comme des zombies des vieux films qui ne seraient pas encore complètement transformés. Mais au moins, ils agissent presque normalement. "Tu veux du gâteau ?? Au fait, ne t'en fais pas, ta cousine ne prendra pas trop de place dans ta chambre."Une minute, quelle cousine ??

Dans la cuisine, je vois une fille que me rappelle vaguement quelque chose, à oui, l'espèce de zombie, à part entière celui-là, qui suit le groupe d'"immortels" de service avec qui je finis toujours par avoir des ennuis. Mais qu'est-ce qu'elle fait là ?? Ah non ! Je refuse d'avoir à partager mes journées avec elle. Lorsque ma mère sort de la cuisine, je lui demande où est ce Ayama de malheur.
Elle me dit qu'elle ne le sais pas, je dit que je sors à mes parents et je me dirige directement vers l'appartement où le groupe se tenait lorsqu'Ayama m'avait emmenée lorsque je m'avais fait mordre par le cercueil au musé. Au moins, elle me suis de pas trop proche, c'est qu'il y a une odeur bizarre qui sorts de ce corp ambulant. Génial, il n'y a personne, il a fallu que j'attende plusieurs heures avant qu'ils reviennent de je ne sais où.

Je demande à mon bourreau de dire au zombie de me laisser tranquille. Après quelques échanges entre les membres du groupe, Apple convaint Ayama qu'elle doit me laisser tranquille. Par la suite, je ne sais pas trop comment, mais je me suis retrouvée à faire du craft dinner avec Apple, probablement parce que j'avais faim. Et comme d'habitude, après avoir mangé, au moment que je décide de rentrer finalement chez moi, on me retient.
Ils ne veulent pas que je sorte toute seule, le problème c'est qu'habituellement, je suis plus en danger avec eux qu'être toute seule dans une ruelle sombre où se promène des personnes croches. Et au final, je ne sais plus ce qui c'est passé, c'est comme si j'étais inconscience et que je voyais pourtant ce qui se passait autour de moi. C'était bizarre. Ils ont sortis dehors sous une pluie de sable, et oui, il pleut du sable maintenant et ça ne me semble même pas bizarre, c'est ça qui est étrange, mais est-ce vraiment important ce qui je pense ??

Ils entrent dans des égoûts et à peine quelques mètres plus loin, on se retrouve face à plein de personne qui ont l'air étrange. Un combat commence, mais il ne m'implique pas, pourquoi est-ce que je devrait m'y intéresser d'ailleurs ?? Je me sens flotter au dessus du sol et on m'emporte plus loin, très loin. À un point tel que je ne vois plus les autres, je me demande qui me transporte, mais pourquoi est-ce que je me pose la question au juste ??
Après un certain temps, je sors de ma létargie, je suis sûre que c'est encore un tour de ce foutu Ayama, mais qu'est-ce qu'il m'a fait encore celui-là ?? Enfin bref, le plus important pour l'instant c'est que je suis dans les bras de quelqu'un et ce quelqu'un et bien, je ne le connais. Il y en a d'autre comme lui, mais ils ont l'air malade. Je me débat un peu, mais il a une bonne poigne et je n'arrive pas à me déprendre, si jamais je retombe sur mon cauchemard sur deux pattes un jour et que je suis encore vivante, je peux vous assurer que je vais flanquer mon poing sur sa jolie gueule !!!

Finalement, j'arrive dans une drôle de salle ... hé attends un peu, ne serait pas une salle du musé que je suis allée voir dernièrement. Mais, qu'est-ce que je fais là ?? Le type m'emporte sur une sorte d'estrade et me dépose sur une pierre. Autour de moi, il y a plein de ces personnes, il y en a même un peu trop. Je commence à paniquer là, j'essais de lever pour me sortir d'une manière ou d'une autre de ce guêpier, mais des crochets sortent de la pierre.
En bas de l'estrade, le monde on commencer à palsmodier d'étranges paroles et un grand type à côté de moi à dit que leur prêtresse allait revenir à la vie. Est-ce que je veux vraiment que cette prêtresse revienne ?? Soudain, je ne me sens pas très bien. J'ai des étourdissements et la nausée. À un moment, je n'arrive plus à me retenir, je vomi mes trippe sur moi. Entre un crachement et un autre, je me rends compte que ce sont des serpents qui sortent de ma bouche. Mais qu'est-ce qui m'arrive ??

Je crache le dernier, mais je ne me sens pas tellement mieux, je me sens encore malade et étourdie. J'arrive cependant à distinguer que certains membre du groupe sont arrivés dans la salle et qu'ils commencent à se battre contre ceux qui marmonnaient des prières quelques minutes plus tôt. Je vois aussi une vision que j'aurais préféré ne pas voir, tous les serpents que j'ai crachés se rassemblent et commencer à former une femme qui me ressemble un peu, mais elle est bien plus vieille que moi. Pourquoi est-ce que je dois être la figure de proue de leurs satané prêtresse ?? Pourquoi ! Et bien sûr, mon meilleur ami arrive à ma rescousse. Heureusement pour lui, que je ne me sens pas bien, mais j'arrive quand même à lui mettre un poing dans son joli minois après qu'il m'ait détaché de sur la table. Par la suite, c'est la pagaille, il y a de ceux qui priaient qui s'enfuient.

Ils y en a d'autre qui se battent, j'arrive à voir Apple qui se débrouille assez bien et en plus il y a des serpents partout. Vraiment partout, justement il y en a un qui se glisse sur mon épaule et sur mon bras. Je n'ose plus bouger, Ayama l'enlève pas assez vite à mon goût et reste à côté de moi. Plus tard, je vois les autres tenter de quoi avec une bouteille d'alcool qu'ils lancent sur la femme de serpents et celle-ci se désintègre et tous les serpents qui la constituaient se glissent un peu partout maintenant pour s'échapper.Je me sens fatiguée, je ne comprend plus rien de la situation et je veux juste renter chez moi et serrer mes parents dans mes bras. Je demande à Apple s'il peut me rammener chez moi, pendant que le groupe semble se préparer à faire une nouvelle attaque sur la tour Effel si j'ai bien compris.

Laissez-moi tranquille pour une fois, s'il vous plaît, je viens de faire sortir une prêtresse constituée de serpent de mon ventre, est-ce que je peux rentrer maintenant ?? Heureusement qu'Apple est gentil avec moi, car il accepte de bon coeur. Il me dépose par la fenêtre de ma chambre, il commence à y avoir de plus en plus de sable à présent. Je me demande d'où il peut bien sortir, bah !
Probablement de toute la situation qui c'est passée durant les derniers jours. Je me glisse jusqu'à la cuisine et je vais me blottir contre ma mère. Enfin un peu de paix, j'espère sincèrement que je n'aurais plus à les voir, bon peut-être Apple, mais c'est bien le seul du groupe que je voudrais bien voir encore. En plus, mon tatouage a disparu, une bonne nouvelle, donc je n'aurais plus à ... cracher quoi que ce soit, j'espère que ma mère a jeté le gâteau parce que je pense pas me sentir en état de voir de la nourriture pour quelque instant.

Eh voilà les merveilleuses aventures de Siann, la suite la semaine prochaine !!!